Trois Batailles en Allemagne

Jéna , qui s'est déroulée le 14 octobre 1806, est le tournant de la campagne de 1806 contre la Prusse. Finalement, une victoire française écrasante, commençant dans le brouillard par Lannes engageant une seule division prussienne sous Tauentzien, s'est transformée en une bataille complète contre Hohenlohe et la moitié de l'armée prussienne, qui au début ne comprenait pas complètement à quoi il faisait face, engageant son armée pièce par pièce. Bien qu'ils soient au départ en infériorité numérique, les Français sont au sommet de leur valeur militaire et la concentration magistrale de l'armée pendant la journée fait de Jéna l'incarnation des victoires.

Auerstaedt , se déroula le même jour, opposant Davout et son Troisième corps à l'armée prussienne principale commandée par Brunswick et le roi de Prusse. Une bataille inattendue, alors que des troupes supplémentaires entraient sur le champ de bataille des deux côtés, un chef-d'œuvre où Davout gagnait son titre de Duc d'Auerstaedt. A la fin de cette journée, les deux armées prussiennes, toutes deux battues dans cette double bataille, se joignirent dans une déroute commune, suivie d'une poursuite légendaire menée par Murat qui aboutit à la destruction de l'arrogante armée prussienne en quelques semaines.  

Les deux batailles sont accompagnées de nombreux « what if » et d'un total de 15 scénarios, utilisant des troupes des deux armées non engagées historiquement. Plusieurs scénarios donnent enfin une vraie chance aux malchanceux Prussiens.

Le siège de Danzig , simule le siège de la grande forteresse de Danzig entre mars et mai 1807, entre la partie d'Eylau de la campagne de Pologne et sa conclusion à Friedland. Le jeu se joue sur deux cartes, une carte opérationnelle de la région de Danzig, utilisant les règles habituelles de Vive l'Empereur, et une carte de siège où le joueur français construira un réseau de siège pour se rapprocher des puissants murs afin de les percer. Il se passe beaucoup de choses sur les deux cartes, des sorties, des renforts russes sous Kamenski, le moral de Danzig qui conditionne la victoire monte et descend en fonction de l'avancement des travaux de siège et d'autres événements. Les joueurs devront être patients, le siège peut être gagné ou perdu au dernier tour de jeu.